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 [PNJ] William le Seigneur

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MessageSujet: [PNJ] William le Seigneur   [PNJ] William le Seigneur Icon_minitimeJeu 31 Mar - 13:37


Nom :Filbrud
Prénom : William
Surnom : Le Seigneur
Age : Incalculé mais plus de 200 ans
Sexe : masculin
Race : Vampire

Description physique :

Comme tous les vampires, William est un bel homme à la peau légèrement plus pâle que celle des humains. Il parait avoir la trentaine, l’âge vers lequel il a été contaminé.
Ses yeux sont d’un bleu envoûtant très expressif, reflétant ses sentiments sans aucune pudeur.
Ses cheveux sont lâchés librement, laissant libre court à leurs ondulations naturelles.
Il se revêt toujours des costumes très classes, dans des couleurs plutôt sombre et taillés dans des matières luxueuses.

Description Caractère :

William est avant tout un homme patient, très patient. C’est un fin calculateur qui aime prendre son temps. Il en a suffisamment devant lui, après tout.
Bien qu’il ne sache plus vraiment depuis combien de temps il s’est transformé, il a gardé une part d’humanité très importante. Il aime les plaisirs que sa vie peut lui offrir, les plus simples comme les plus élaborés.
C’est quelqu’un qui a un franc parlé sans égal, bien qu’il vous laissera volontiers défendre votre point de vue. Il reste rarement figé sur ses positions, prenant particulièrement soin à laisser son esprit ouvert à de nouvelles suggestions.
Il aime les idées nouvelles, mais prend toujours le temps de bien les analyser avant de les mettre à exécution.
Bien qu’il ne puisse plus manger d’aliments classiques, il aime gouter des sangs exotiques et apprécie les subtiles mélanges de ceux-ci. C’est en quelque sorte un gastronome dans son domaine.
Il n’est pas non plus rare qu’il partage sa couche avec de très belles femmes, surtout si leur sang est agréable. Il garde une préférence pour les humaines mais on peut dire qu’il aime essayer un peu de tout…
Il tue rarement ses victimes, préférant leur prélever couramment de petites quantités de sang afin de préserver celles au gout particulier. On peut dire que William a développé une sorte de "garde-manger ambulant".
Cela lui a valu son surnom de Seigneur, jeux de mot entre le fait qu’il ne cesse de saigner son « harem » et ses airs de noblesse.
Néanmoins ne vous fiez pas à son caractère calme et à son allure de gentleman. William est puissant et connais mille et une manière de vous vider entièrement… de jour comme de nuit.

Défaut :

On dit que la curiosité est un vilain défaut, si cela est le cas, on peut dire que c’est là le défaut principal de William. Il lui est arrivé maintes fois de laisser certaines victimes vivantes juste parce qu’elles l’intriguaient, après à elles de se faire suffisamment intéressantes…Avis aux Sherazades...

Profession : Grand Pirate

Rôle et puissance :

William est à la tête d’une des flottes les plus puissantes voguant encore, notamment grâce à certains de ses seconds dont il est le créateur. Il accumule des richesses depuis si longtemps qu’il est également connu pour être un des pirates les plus riches, ce qu'il aime montrer.
Ce sont sa richesse et sa puissance qui l'on fait grimper jusque-là. Sa puissance à lui, ce sont ses aptitudes personnelles de combat aussi bien celle de ses frères d'armes et de sang, élevés à bonne école.
Connu et redouté de beaucoup, il pouvait être un pion d'une rare utilité, en plus de se faire occasionnellement un joueur averti.

Histoire personnelle :

Comme la plupart des vampires, William, de sa vie humaine, était issus d’une famille noble. En effet, généralement les vampires cherchant un apprenti choisissent parmi cette classe sociale, préférant que leur « progéniture » ait déjà reçu une éducation appropriée. Même si cette fois ci, il s’agissait plutôt d’un concours de circonstance.

William était le souverain de sa petite île. Un homme particulièrement fier et hautain mais néanmoins juste et apprécié de sa communauté. Il était alors marié à une femme intelligente et avait eu d’elle deux beaux garçons.

Pour mieux comprendre ce qui va suivre, souvenez-vous que ceci s’est déroulé il y a 200 ans à peu près, c’est-à-dire bien avant que le gouvernement commence sa politique coloniale sur l’île en question. A l’époque, les humanoïdes étaient peu connus et la haine qui leur est portée actuellement par le gouvernement était inexistante.

C’est donc avec à la fois une légère crainte mais surtout une curiosité sans mesure que William invita un noble vampire à l’une de ses nombreuses réceptions. Les problèmes commencèrent lorsque celui-ci… et bien répondit à son invitation en s’y présentant.

De la curiosité et de la différence nait aisément la moquerie des humains… et aujourd’hui il est fort connu que les vampires n’ont pas forcément grand sens de l’autodérision. Poussé par son public et la boisson, William le tourna en ridicule durant toute la réception, invoquant la plaisanterie et le coté bon enfant face aux réactions des plus froides de son invité. Néanmoins l’effet était à peine dissimulé, William prenait un malin plaisir à porter en ridicule le vampire devant toute la noblesse et bourgeoisie de l’île parmi lesquels il avait vécu autrefois. L’humanité chez les vampires est une chose très délicate, chez ce dernier on pouvait deviner une mélancolie et un regret de sa vie humaine, et plus le souverain plaisantait sur son ancien statut d’humain, plus cette humanité regrettée s’enflammait.

Il prenait son statut comme une malédiction, et voilà qu’on en riait ? Comme s’il ne s’agissait que d’une boutade ? Les humains sont décidément bien stupides. Il saurait faire payer cet acte au prix fort…

La soirée pris fin bien tard, mais la nuit de faisait que commencer pour le sanguin…
Invisible aux yeux des rares gardes, telle une ombre silencieuse il se glissa dans le château jusqu’à la chambre du souverain endormi.

« Voyons si tu trouves toujours aussi risible cette malédiction désormais. Elle va être tienne William... voyons si tu ris toujours autant en voyant ta femme tant aimée te traiter de monstre et tes enfants te chasser tel un gibier. »

Cette phrase restera de longues années à hanter l’esprit de William. Ce fut la dernière qu’il entendit en temps qu’humain. Il ne se souvient pas vraiment de ce qui suivit, juste un souvenir de douleur et de soif intense, puis cette phrase :

« A présent sache que tu es à ma merci. Car le jour où tu seras apte à passer la prise d'énergie, j’aurai grand plaisir à te voir ramper à mes pieds, misérable apprenti. »

Ce fut la première qu’il entendit suite à sa nouvelle naissance, agrémentée d’un rire à faire froid dans le dos. Son créateur disparut ensuite.

Après le choc premier, William pris le temps de réfléchir sur sa nouvelle vie. Il se rendit compte alors que seul 2 choix se proposaient à lui : partir et abandonner sa vie telle qu’il la chérissait, rester et risquer … qui sait ? De voir ceux qu’il aimait le rejeter comme l’avait prédit le vampire, mais après tout, autant jouer le tout pour le tout…

William se fit passer pour malade et interdit à quiconque de rentrer dans sa chambre à part à sa famille proche. En commençant par sa femme.
Celle-ci était vive d’esprit et William avait déjà compté sur elle dans le passé dans certaines situations de crise. Apprendre que son époux avait perdu son humanité et ne mangerait à présent plus que du sang la retourna… Mais il devint rapidement clair qu’il ne fallait surtout pas que cela s’ébruite.

Après mures réflexions, une idée finit par se faire son bout de chemin… Son fils ainé était alors âgé de 17 ans, et avec les conseils avisés de son père il pourrait très bien se tenir la tête du pays.
William lui, ne pourrait plus sortir de cette pièce, il suffirait de barricader les arrivées de lumières et que sa femme lui porte ce dont il aurait besoin.

La réflexion la plus poussée et la plus délicate fut celle de l’apport de sang. Pour faire passer son absence pour une grave maladie ils auraient de toute manière besoin de la coopération d’un médecin, et tant qu’à faire, ce dernier pouvait sans problème apporter le sang nécessaire.
Rappelons le, à l’époque la principale manière d’éradiquer le mal était de se faire régulièrement des saignées... il suffira donc au médecin de conserver le sang et le ramener pour nourrir William.

Sa femme se chargea de trouver un médecin coopératif et le titularisa comme unique médecin de la famille royale, lui attribuant la rétribution correspondante à son silence en prenant soin de ne pas l’empêcher d’exercer son travail en dehors pour sa collecte de sang.

Et c’est ainsi que les choses se déroulèrent durant plusieurs années, jusqu’à même faire passer l’ancien souverain comme décédé lorsqu’on estima les années suffisantes.
Puis il vint vite une évidence aux yeux de William encore plus cruelle que celle d’être rejeté par sa famille… Ils allaient mourir et lui non. Le premier choc fut celui de voir sa femme mourir. Incombait désormais la tache de prendre soin de lui à son second fils, le premier étant bien trop occupé avec la gestion de son royaume. Il vit également naitre ses petits-enfants, mais ce n’était pas vraiment pareil… Il ne vieillissait pas et ne montrait aucun attachement à ces bouts de chair qui n’avait pas vécu son drame.

De plus, William s’ennuyait, il avait déjà lu tant de choses qu’on ne savait plus où ranger les livres. Il s’était tant entrainé qu’il ne trouvait plus le goût de combattre ses fils, devenus bien trop faible face à lui. Il avait un avantage certain en tant que vampire, sa vitesse et sa force était de loin supérieure à celle de ses enfants, mais il s’efforçait à gagner toujours d’avantage en technique.

Et puis un jour il convoqua ses deux fils et leur annonça qu’il voulait partir de cette île, profiter que sa vie éternelle et surtout en apprendre plus sur les vampires, en apprendre plus sur lui-même…
Il réclama un équipage et un grand bâtiment. Après tout, ses fils ne se trouvaient pas vraiment en mesure de refuser quoi que ce soit. Il savait également qu’il faudrait un certain temps pour réunir ce qu’il exigeait, assez de temps pour aller se renseigner chez la seule source qui connaissait bien les vampires… son créateur. Le vampire ne vivait pas près de la capitale, et ce fut lors de ce voyage qu’il comprit alors la difficulté des déplacements lorsqu’on est un vampire.
Il arriva enfin au manoir du vampire, exténué et en partie brulé.

Le créateur l’attendait depuis un moment déjà, depuis que la nuit était tombée en fait.
Avec un immense sourire aux lèvres, il le fit entrer dans sa demeure.

« Entres donc, il semblerait que tu sois perdu, petit apprenti. »

Il utilisait sciemment un ton des plus condescendant, et bien que cela avait le don d’irriter la fierté de William, il ne répliqua rien et prit sur lui. Après des années de recherche sur sa condition, il n’avait rien trouvé dans aucun ouvrage. Rien, nul part. Personne ne savait.
Il n’avait plus vraiment le choix dans sa recherche d’information.

«Je dois t’avouer que je t’attendais plus tôt, il faut dire que tu as eu une enfance assez spéciale, qui aurait cru que tes proches t’auraient accepté avec ta malédiction. Et puis se nourrir des saignées du médecin, je dois avouer que tu m’as impressionné d’innovation… »

Comment pouvait-il être au courant de tant de détail ? Plus il marchait dans les couloirs à écouter son mentor, plus il l’intriguait.

« Bien que cela montre un manque d’une certaine classe… j’imagine qu’on se nourrit de ce que l’on a en temps de disette. Le sang frais et encore chaud, je ne sais si je pourrai me nourrir d’autre chose. »

Ils arrivèrent dans une immense pièce aux lourds rideaux de velours donnant sur des fenêtres depuis longtemps condamnées, un petit salon au mobilier riche mais ancien.

« Tu commences à peine à entrapercevoir en quoi cette nouvelle vie que je t’ai ‘’offerte’’ est à la fois une malédiction et une chance. Tes brulures cicatriseront très rapidement ne t’en fais pas. »

William resta plusieurs jours chez son créateur qui s’avérait être l’un des premiers nés, c’est-à-dire ceux de la première génération chez qui s’est développé la ‘’maladie’’. Pendant de longues années il avait recherché un remède, en vain…

Peu avaient survécu et les rares finissaient peu à peu à perdre leur humanité, à amplifier leurs pouvoirs jusqu’à pouvoir transmettre ce qu’ils voyaient désormais comme un don.

Durant son « séminaire », Charles, son créateur, lui appris tout ce qu’il avait à savoir en tant que vampire. Ses capacités, la façon de les entrainer, jusqu’à la renaissance, l’acquisition du pouvoir ultime et celui de la transmission.

C’est à ce moment-là que William avait tout intérêt à suivre ceux de son créateur et pourquoi le vampire faisait ressentir à quel point il lui était supérieur… William aurait besoin de lui s’il désirait un jour devenir un vampire Libre.
Un vampire a peu d’objectif dans une vie éternelle, mais l’objectif de tout immortel reste le même : devenir toujours plus puissant. William resta aussi longtemps qu’il put dans le manoir du vampire et commença à exercer ses pouvoirs dont il avait désormais conscience, puis parti sur le dernier cadeau de ses enfants.

La suite vous la devinerez assez facilement, William gagna toujours plus en puissance et sa curiosité l’y poussant, découvrit de nombreuses îles. Il retourna sur son île natale pour retrouver son créateur le moment venu, sa descendance l’important peu. Il faut dire que ses deux fils étaient morts depuis déjà plusieurs années.

Trouver un terrain d’entente avec Charles fut assez difficile, mais William avait tant gagné en influence qu’ils trouvèrent un terrain d’entente. William devint suite à cela l’un des vampires les plus redouté, un vampire libre possédant son pouvoir ultime.
La nature de ce dernier ? Laissons une part de suspens.
En tout cas sachez que William a su bien s’entourer et à usé de son pouvoir de création avec grande réflexion et parcimonie, créant des équipages à sa solde avec à la tête parfois des vampires libres ayant pour créateur le seigneur William.

Lorsqu’on lui proposa de s’installer sur Clavinia en tant que grand pirate, il accepta sur le champ.
Il avait alors l’impression d’avoir déjà tout vu des voyages en mer et avait assez d’hommes à son commandement pour lui faire parvenir tout ce qu’il pouvait désirer.

L’idée de s’installer à son tour dans un manoir l’intriguait, tout comme celle de devenir Grand Pirate.
Encore une fois la curiosité l’emporta.
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