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| | Théodore Albius Chiadoc dit Tchad | |
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Tchad
Messages : 2 Date d'inscription : 15/01/2012
| Sujet: Théodore Albius Chiadoc dit Tchad Jeu 19 Jan - 1:20 | |
| Prénom : Théodore Albius Nom : Chiadoc Surnom : Tchad Sexe : Male Age : 17 ans Physique : Certes, il a les traits d’un jeune homme, mais on voit tout de suite que c’est une personne mature. Il a un regard bleu acier calculateur lorsqu’il se met a fixer quelqu’un ou quelque chose. D’ailleurs, il passe énormément de temps a observer ce qui l’entoure. Passé son regard, on peut observer ses traits fins et ses cheveux blonds attachés en queue de cheval. Vous pouvez le croiser dans la rue avec des vêtements de bonnes factures, en général un pantalon de toile à carreaux noirs, une chemise à jabot blanche et un redingote noir. Un chapeau melon surmonte le tout. Sa tenue de travaille est bien moins chique, torse nu ou sous un léger tricot de corps, on peut apercevoir sa fine musculature, qui tient plus de l’agilité que de la force. Son pantalon ample est tenue par une ceinture à la taille et par des lacet à ses chevilles, une paire de chaussure solide lui protège les pieds. Sa sacoche d’outils trainant non loin de lui. Une bonne paire de gants et des lunettes de protections finissent d’équiper l’inventeur.
Caractère et défauts : Discuter avec lui n’est pas évident, étudiant régulièrement ce qui l’entour. Lorsque vous avez son attention, autant il peut être ouvert d’esprit pour parler de technologies ou de sciences, autant il s’avère beaucoup plus obtus, voir cynique sur les sujets de société ou de sentiments. Il se montre timide voir chaste avec les femmes. Il est jeune et n’a jamais eu d’histoire amoureuse. Lorsqu‘il parle de ses passions, il se montre didactique et autoritaire, d’une autorité de celui qui maitrise son sujet. Dernière chose: ne lui parlez surtout pas de son père, cela l’énerve quelque peu.
Histoire : Issu d’une mère de la haute société et d’un père ingénieur de renom, il vie une enfance solitaire en compagnie de sa mère. Son père à orienté sa vie vers la politique et ne passe que peut de temps avec lui. En réalité, il est surtout un leader d’un groupuscule secret à orientation antiraciste. Après le décès de sa mère, son père lui envoi Aristide, majordome à son service. En réalité, Aristide est membre du même groupuscule et il est ici pour le protéger au cas où. A l’âge de quinze ans, Aristide part pour l’université, il y passe 2 ans au lieu de 3. Sa motivation et ses aptitudes héréditaires l’ayant bien aidé. Il doit trouver un emploi pour progresser et demande à son père. Ce dernier refuse tout net, en lui disant qu’il n’a pas encore le niveau, en réalité il veut l’éloigner de lui, pour ne pas le mettre en danger par ses activités clandestines. Conseillé par Aristide, Tchad décide de partir sur l’ile de Mayork, réputée pour ses mines de fers. Pensant y trouver des machineries de choix, il y trouve un esclavagisme de minotaures. Aristide, en profite pour aider à la révolte, blessé pendant les représailles, il n’a d’autres choix que de demander de l’aide à Tchad. Se faisant, ils sont tous les deux poursuivis par le gouvernement et décident de partir pour Clavinia.
Compétences : Connaissance [3] : Déchiffrage 2, Erudit 1 Mécanique [3] : Bricolage 2, Ingénierie mécanique 1 Annexe : Aristide est un homme pragmatique. Grand, chauve, légèrement boiteux, la quarantaine passée, c’est surtout un homme organisé, habitué à gérer de grandes propriétés aussi bien que le bureau bordélique d’un inventeur passionné. Il ne manque pas de ressources pour marchander diverses choses. Il est surtout très épris de liberté, et à énormément de remords d’avoir arraché Tchad à sa vie. HRP : >> Sur ta première remarque, je n’avais pas l’intention d’être suffisant à ce point, je voulais simplement dire que j’avais finit mon cursus et que j’’étais au dessus de mes camarades. Erreur de débutant J. >> De même pour mon père, peut être moins connut (déjà pas dans la capitale) et moins pour ses valeurs d’inventeur. >> Quand à la raison du départ et sa destination, je pense que ça tient déjà mieux la route. >> Je vais reprendre mon journal pour que cela corresponde à sa nouvelle histoire. >> Par contre, comme nous avons quelques travaux, je ne serait pas réellement disponibles pour le moment, cela me laisse du temps pour réfléchir et rédigé mon journal en détail.
Dernière édition par Tchad le Mar 24 Jan - 1:18, édité 2 fois | |
| | | Tchad
Messages : 2 Date d'inscription : 15/01/2012
| Sujet: Re: Théodore Albius Chiadoc dit Tchad Jeu 19 Jan - 1:22 | |
| Le ? dans l’atelier.
Voila, j’ai pris ma décision! Je pars pour Clavinia!
Bon c’est un peu abrupt comme annonce pour ouvrir mon carnet de voyage, mais c’était plus fort que moi. Autant commencer par le début, histoire de s’y retrouver.
Je me nomme Théodore, Albius, Chiadoc, le dernier étant mon nom de famille. Mais il est vrai que j’aime qu’on m’appel Tchad, c’est quand même bien moins aristocratique, et je dois l’avouer, cela enrage Père, ce qui n’est pas pour me déplaire.
Donc je suis issu d’une famille aristocrate et j’ai vécu mon enfance dans notre maison de campagne. Une belle demeure, assez grande et somptueuse pour refléter notre rang, mais pas trop pour ne pas crouler sous les factures. Je fus élevé par Mère car Père n’avait, il faut le croire vu le peu de fois où il rentrait nous voir, que peu de considération pour sa famille. Mère était très belle mais très triste, elle se languissait énormément de son mari. Et je pense que c’est ce qui rendit Mère malade. La maladie de Mère… Qu’elle terrible plaie que cela a ouverte en mon cœur. Très vite Père dut prendre une décision, plutôt que de venir soutenir Mère, il embaucha un intendant ! Prétextant quelques travaux inachevés pour l’armement du gouverneur. Cet intendant se nomme Aristide Rialto, il fut d’un énorme soutient auprès de Mère, partageant son temps entre la gestion de la demeure, les soins de Mère et mon humble personne. Mère mourut durant ma dixième année, après plus de six mois de souffrance. Père ne vint que pour l’enterrement. La cérémonie fut très sobre d’autant que nous n’avions que peut de famille et qu’il ne restait à Mère que peut d’amis. Une fois Mère en terre et les invités partit, Père convoqua Aristide. Je ne pus m’empêcher d’écouter aux portes. Et j’entendis sa voix froide et métallique, pareille à ses machines annoncer à Aristide de me prendre en charge et de s’occuper de la maison.
Le félon !!! L’infâme !!! Non content d’avoir abandonné mère, il m’abandonne aussi.
J’eu le temps de me rassoir dans le couloir avant qu’ils ne sortent du bureau. Il s’arrêtât à trois pas de moi, baissa son regard et … rien … un masque inhumain … sans aucun sentiment. Il reprit sa marche sans un geste tendre, sans une parole de réconfort. Il ne resta pas même une nuit chez nous. Une fois partis, Aristide m’expliqua la situation. Père ayant énormément de travaille en cours, il ne peut pas s’occuper de moi, de ce fait c’est lui-même, Aristide, qui en auras la charge. Alors, comment attirer l’attention de Père ? La seule chose qui l’intéresse c’est son travail. Je décidai donc, malgré mon jeune âge, de tout faire pour l’atteindre…
S’en suivit donc cinq années d’études. Apprendre à lire, à écrire, à calculer. Aristide finit même par lui expliquer le fonctionnement de la maison, ainsi que les comptes s’y attenant. C’était une vie plutôt sereine et je me révélai particulièrement apte aux études, une des rares choses que je doive à Père. Mes différents précepteurs ne pouvant plus convenir à mes objectifs, je du demander l’autorisation à Père de quitter la maison de mon enfance pour rejoindre l’université. Le seul courrier que je reçu fut pour Aristide, des consignes pour mettre en location la maison et continuer à me chaperonner.
L’université ! Aristide nous trouva un immeuble en périphérie de la ville. Assez proche pour accéder rapidement aux études, mais en dehors de la ville pour ne pas déranger les voisins avec ses expériences. A l’école j’étais à la fois le fils prodigue, Père étant l’un, si ce n’est le plus grand inventeur de toute l’histoire. Mais j’étais aussi le nabot, le petit protégé, faut dire que mes collègues avaient au minimum deux de plus que moi. Là encore je fis tout pour exceller, J’avais encore l’espoir d’attirer l’attention de Père. Au bout de deux ans, mes professeurs s’avouèrent vaincu, ils me conseillèrent de passer à la pratique et de rejoindre mon père dans ses travaux.
Je demandais audience auprès de mon père. Avant de pouvoir le voir, on m’invita à visiter les arsenaux. Je pus entrer dans ces grands navires de fer, chef d’œuvre des recherches de Père. Je compris bien mieux l’adoration dont il était l’objet au sein de l’université. Mon guide m’emmena enfin devant le bureau de père. Ce sera la première fois que je le rencontre depuis l’enterrement. Diplôme en poche, je me suis présenté à lui dans l’espoir de travailler à ses côtés. Lui, derrière son bureau, ne leva même pas la tète, pas un sourire pour me félicité. Alors J’insistais : « Père ! Je suis diplômé, le plus jeune diplômé depuis que l’université est ouverte ! Je … » Je me tus, à court d’argument. Devant mon impatience il me demanda : « Que veux-tu ? » Ce que je voulais ? Ce que je voulais ! Qu’il me regarde, qu’il me reconnaisse… Alors, plutôt que de dire le fond de ma pensée, je lui annonçais : « Découvrir le monde. » Avec un soupir il baisa la tête et me renvoya, m’indiquant qu’il contactera Aristide pour régler les détailles.
J’étais déçus, de Père bien sur, quel insensibilité… Mais surtout de moi, incapable d’exprimer mes sentiments, préférant la fuite.
En rentrant, j’avisai Aristide de ma décision. Bien loin de vouloir me faire la morale, il me proposa de me rendre sur l’île de Clavinia : l’île des pirates. D’après lui, ce serait le meilleur endroit pour monter une affaire, ils y ont que peu de scientifiques et il pense que les pirates pouvaient être très intéressés par mes connaissances.
Aussi, je laissais à Aristide le soin de louer des places sur un navire en partance de l’île. Il revint au bout de quelques heures avec ce que nous recherchions. Il m’avoua qu’il avait était marin dans sa jeunesse et qu’il connaissait quelques navires qui avaient l’habitude de commercer avec l’île. Dans quelques jours nous appareilleront. Une semaine que je mis à profit pour organiser mes travaux et mes affaires pour le voyage. J’imaginais déjà les possibilités offertes par cette île.
J’ai le trac : une fois à bord de l’Esméralda, je ne pourrais plus faire demi-tour. Mes affaires partent à l’instant et Aristide attend que je ferme mon journal pour confier les clés de mon atelier au gardien.
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| | | MJ
Messages : 190 Date d'inscription : 31/03/2011
| Sujet: Re: Théodore Albius Chiadoc dit Tchad Dim 22 Jan - 22:21 | |
| Bonsoir Tchad et bienvenue sur Maynlie, Alors, tout d’abord je vais m’employer à répondre au mieux à tes questions : - Il ne me semble pas qu’il y ait la moindre ville ou région du Continent qui soit nommée dans le BG. En fait tout simplement parce qu’il n’était pas vraiment prévu par le staff que des personnages seraient nombreux à quitter l’île même du Gouvernement pour venir à Clavinia. Il va de soit que ce n’est pas particulièrement interdit (il y en a déjà dans ce cas là), mais particulièrement difficile à justifier (nous allons le voir un peu plus loin). En fait, je pense que jusqu’à nouvelle donne il est mieux de rester relativement imprécis dans ce domaine et de simplement parler d’une région industrielle du Gouvernement. (J’invite l’Admin à me reprendre sur ce point si besoin était.) - En revanche pour les universités, elles existent, et en particulier sur le Continent en effet. ^^ - Le voyage depuis l’île du Gouvernement pour aller à Clavinia est un voyage de plusieurs mois (disons entre 3 et 4) avec étapes car le navire se heurte à des courants marins et vents dominants contraires. Il va de soit que les pirates se sont assuré que l’île sur laquelle il choisissaient de s’installer serait difficile à atteindre depuis celle de leur pire ennemi. ;) Au niveau des dates, selon la chronologie nous somme en l’année 569 de cette ère, en Janvier. Après c’est à toi de voir. Voilà, j’espère avoir répondu à tes interrogations au mieux. Maintenant je vais passer à ta fiche. Il y a à vrai dire deux points particulier sur laquelle l’histoire de ton personnage me parait achopper. La première concerne les compétence de ton personnage et la seconde la raison pour laquelle il se rend à Clavinia. Concernant les compétences, en fait ce qui me trouble est la manière dont Tchad semble dire qu’il a tout simplement dégouté ses professeurs. « Au bout de deux ans, mes professeurs s’avouèrent vaincu » Alors c’est aussi peut-être illusion orgueilleuse de la part du personnage, mais je préfère autant que tu le confirmes car tel que je le comprend cela voudrait dire qu’il surpasse des universitaires (donc des spécialistes) dans leurs domaines et je traduirai ça tout simplement par le fait d’être déjà en arrivant au niveau à la fois de scientifique et d’ingénieur. Ce qui fait tout de même beaucoup de points à rattraper. Est-il donc à ce point surdoué et tu complétera ses compétence au fur et à mesure ? Ou bien y a-t-il un peu de vantardise ? Est-ce que tu pourrais éventuellement un petit peu décrire le genre d’enseignement qu’il y a reçut (matières, types de cours,…) ? Par ailleurs tu me sembles décrire le père de ton personnage comme une sorte de Isaac Newton de Maynlie. Alors bien sûr, ce n’est absolument pas interdit, mais il faut que tu sois bien conscient de tout ce que cela peut impliquer. C’est à dire que s’il est si connu sur le Continent, il le sera aussi sur Clavinia. Je pense que tu peux imaginer à quel point le fait que son fils leur soit livré sur un plateau ravira les grands pirates (et Tchad peut-être moins, du coup.). :) Ce qui m’amène d’ailleurs du coup au deuxième point sensible. Comment ce fait-il qu’on laisse le fils surdoué d’un des plus grands inventeurs de la nation se carapater aussi facilement ? À vrai dire, ne le prend pas mal mais la partie ou Tchad annonce qu’il part pour Clavinia m’a beaucoup amusé. - Citation :
- En rentrant, j’avisai Aristide de ma décision. Bien loin de vouloir me faire la morale, il me proposa de me rendre sur l’île de Clavinia : l’île des pirates. D’après lui, ce serait le meilleur endroit pour monter une affaire, ils y ont que peu de scientifiques et il pense que les pirates pouvaient être très intéressés par mes connaissances.
Disons qu’en lisant cette phrase je n’ai pu m’empêcher de m’imaginer la conversation : « Tiens on va aller sur l’île des trolls mangeurs d’hommes. Ils n’ont pas de scientifiques, il vont surement t’adorer. » « Oh oui ! Quelle bonne idée Aristide, va donc nous prendre deux billets pour une croisière vers cette formidable destination ! » Je m’excuse si je te parait un peu trop moqueur, mais je voulais juste t’illustrer à quel point cette idée parait insensée. Pour un habitant moyen de l’île du Gouvernement, l’île des pirates est l’image même d’un endroit dangereux, barbare, sale, truffé de forbans puants et sans cœurs ni morale. Je grossit peut-être un peu le trait mais ce n’est certainement pas l’endroit où on irait comme on partirait en vacances (ne serait-ce que parce que trouver un navire qui y va implique déjà de contacter les milieux un peu louches du Gouvernement). ;) Ah moins qu’en réalité Aristide lui tende un piège ? Ce qui est tout a fait envisageable et on peut en discuter si tu le souhaites, mais cela va rendre très compliquée ton arrivée sur le forum, surtout si tu débutes. ^^ Voilà, je pense avoir résumé ces deux points particulier qui font que ta fiche parait bancales. N’hésite surtout pas à demander des précisions si tu en as besoin. Je te laisse faire les ajustement pour coller un peu mieux au contexte compliqué et hostile entre Clavinia et le Continent, n’oublie pas de signaler lorsque tu auras finit. Je te souhaite bon courage (et bon déménagement). ;) | |
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