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 Dealeur qu’il est arrivé.

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Ǽðřəδøņ
Personne Bannie
Ǽðřəδøņ


Messages : 116
Date d'inscription : 11/06/2011

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MessageSujet: Dealeur qu’il est arrivé.   Dealeur qu’il est arrivé. Icon_minitimeJeu 28 Juil - 15:13

Prénom : Ǽðřəδøņ
Nom : Angeli déshérité
Surnom : Lachaise
Sexe : Volontiers
Espèce : J’ai du mal à me décider. Un loir, une larve, une souche, une marmotte, un lézard, une couleuvre ? On m’a donné un peu de tout cela, mais jamais d’humain. Vraiment. D’ailleurs en fait… Dormir 20 heures par jours ce n’est PAS humain, si on en crois mon père. Et pourtant il est bien le premier à insister sur le respect du sommeil des autres.
Mais je pense que ma mère, la mère de Lætitia, celle de Serena, Stella et Saveria, celle de Livia et la grand-mère d’Alizée s’étaient mises d’accord sur la question.
Donc sans hésitation je suis un porc. Autant de femmes ne peuvent se tromper toutes à la fois.
Age : Trop vieux pour rester chez mes parents à me faire entretenir plutôt que de m’enchainer à une femme avec des chiards tout le tour du ventre il paraît. Par contre j’ai pas vraiment compté.

Apparence physique :
Je suis beau. Voilà.

Quoi, il faut décrire ? On m’avait bien dit que l’administration pouvait être pénible…
Bon, je suis moyennement grand, moyennement athlétique et moyennement brun. Comparé au type du sud, j’ai la peau un peu moins mate, quelques poils blond-roux par ci par là et surtout une paire d’yeux bleus.
Ces deux grosses billes semblent bien plaire aux filles par chez moi. Vous savez comment elles sont devant la moindre babiole un peu brillante et exotique. On peut donc dire que ce sont mes bijoux de famille, hérités de mon arrière-grand-père Ølåff au pied rouge (Ou Óļⱥff, enfin peut-importe, écrit le comme tu veux.) qui était un marchand venu de pas loin du pôle nord.
Sinon j’ai plutôt bonne mine et suis en parfaite santé. Je met ça sur le compte de mon rythme de vie sain et équilibré.

Ah, oui, il faut aussi que je vous présente ma fidèle chaise. Elle a quatre pieds solides, un dossier confortable, une bonne assise légèrement creusée pour l'accueil et est en chêne massif. C’est mon seul meuble mais il est très pratique.
La chaise de Lachaise.

Caractère & défauts :
J’ai vraiment la flemme de répondre à un truc pareil. Donc je pense que je vais aller contempler les nuages à la place. Bonne journée.









T’es toujours là toi ?
Un fonctionnaire qui fait du zèle, c’est bien ma veine.
Bien…
Je suis paresseux. J’imagine que c’était évident jusqu’ici mais c’est moins fatiguant d’enfoncer les portes quand elles sont ouvertes. La sieste est une activité sacrée dans mon village, plus d’une guerre a été déclenchée parce qu’un des belligérant avait mal dormi.
Bon, cela dit il faut comprendre que je suis paresseux selon les critères de mon pays. Vous les gens de la ville vous êtes tous des stressés à courir partout, à paniquer à la moindre explosion… Il paraît que c’est parce que le temps est plus rigoureux chez vous les gens du Nord. Vous courez pour ne pas avoir froid. C’est pour ça que j’ai emprunté un bonnet de laine en partant, pour ne pas courir.

Et je crois qu’on a fait le tour. Je veux dire, à partir du moment où on a compris que j’emprunte toujours la voie la plus courte et facile en fonction de la variation de l’indice du milieu dans lequel je me trouve, on a tout compris.

Du coup je ne suis pas assez susceptible. Surtout quand je dors. On me l’a souvent reproché, soit disant que je laissais n’importe qui parler à ma sœur…
Et en parlant de susceptibilité, le fait que j’ai quelques fois eu d’intenses échanges linguistiques avec les sœurs des autres m’a valut une solide réputation de négociateur. J’ai du en effet avoir quelques petites explications avec mes camarades méridionaux. Rien de bien méchant.

Pour le reste, tu verras bien. C’est une habitude chez vous de tout spolier. Notre île, nos terres, nos récoltes…
Tu dis ? « paysan autochtone typique » ?
Dis moi, tu veux que je donne un peu d’authenticité à ta bicoque ?

Histoire :
Je viens d’un tout petit village, si rural qu’il n’a même pas de nom…

Non, en fait le village a un nom, c’est simplement que personne ne s’en rappelle correctement. Il faut dire qu’il a en partie été « fondé » par mon arrière-grand-père et donc que le nom est de lui. C’était à l’origine son camp saisonnier d’échange avec les gens du coin, puis un petit comptoir commercial avec sa boutique en dur et enfin le village a grossi avec sa fortune.
Le problème c’est qu’il a eu un tripotée de fils, et que selon la tradition des hommes des glaces il a distribué à chacun une part égale de sa richesse. Ensuite ils se sont démerdé pour faire à leur tour une tripoté de gosses et ont voulu faire comme papa. Donc ma mère a eu deux canards et un cure-dent en guise de dot et a marié un rempailleur.

Pourquoi je raconte tout ça ? Eh bien, c’est mon histoire voyons, à commencer par celle de mon nom. Vois-tu, mon aïeul était du genre lettré. Quand il ne partait pas dans des expéditions au milieu des glaciers il tenait un journal personnel. Il consignait là-dedans pas mal de trucs sur ses voyages et ses comptes commerciaux d’après papy.
À ma naissance mes parents devaient être en panne d’inspiration, ils ont réfléchit un peu puis comme j’avais les yeux très bleus (les plus bleus depuis pépé Ōłäſſ il paraît) ils ont eu l’idée de lui rendre hommage. Ils ont donc choisit le mot qui leur semblait le plus beau dans son bouquin et l’ont fait gravé sur une plaque de métal que je porte depuis autour du coup. Et effectivement, il est beau non ?
Le seul problème, mais qui n’est apparut qu’après le baptême, c’est que comme le côté intellectuel de la famille c’est dilué avec la richesse, les rares qui savent encore lire ne connaissent pas l’alphabet des glaces. Du coup personne n’a su me dire comment ça devait se prononcer. C’est moyennement pratique.
On me connais plusieurs noms , plusieurs apparences, mais un seul chiffre… Ça a été du « Gamin » au « Môme » en passant par le « Eh, Petit ! » quand j’étais plus jeune. Puis de « beau Prince au yeux bleus » à « mon Chéri » en passant par « Porc ! » (je te l’avais dit), avec parfois un soupçon de « Tu as parlé à ma sœur. Personne ne parle à ma sœur. » quand je fut plus âgé.
Ces derniers temps on m'interpèle souvent sous le nom de « Eh toi ! Le type avec la chaise ! ». Pour faire court tu peux me nommer Lachaise.

Comme je l’ai dit mon père était, est, un simple rempailleur Il s’occupe de chaises. Un métiers respectable, au moins aux yeux du fondement de chacun, mais un rien lassant.
C’est que, depuis la mort du pépé, la richesse de la région a un peu chuté vois-tu. Comme je l’ai dit il a fait fortune. Je n’ai pas dit ce qu’il vendait. Qu’est-ce qu’un homme du froid pouvait vendre d’intéressant aux méridionaux de Clavinia ? Et bien c’est très simple, du duvet. Du duvet de canard polaire, le plus moelleux rembourrage de literie que l’on ai jamais vu dans ces contrées ! Et comment qu’il a fait fortune !
Imagine donc l’accueil que lui ont réservé les gens de chez nous. Un gars qui leur proposait de quoi mieux dormir ne pouvait-être qu’un homme formidable !
Mais il est mort, je l’ai dit. Une mort bête, un oubli accidentel. Un jour il s’est endormis et n’a plus su se réveiller. Ça arrive parfois, des gens qui dorment tellement bien, sont tant choyé par les douceurs de Morphée qu’ils oublient comment on effectue une manœuvre de réveil. Vous autres, urbains, vous appelez ça la vieillesse. Quel manque d’à propos.

Il est mort et il a laissé à ses enfants toutes ses notes et ses comptes rendus de voyages, ponctués de cartes et de croquis signalant les routes et les emplacements où trouver ces fameux canards aux plumes d’or. Mais, voilà, il était le seul à savoir se lire. Et nous avons dut recommencer à rembourrer à la paille.

J’ai donc grandit chez un rempailleur, la vie était… chiante, surtout. On ne mangeait pas mal, c’est juste que mon père attendait de moi que je reprenne sa boutique, que je défende l’honneur de la famille, que je récupère une fille au bal du village et que je la marie. J’ai plus où moins rempli deux de ses attentes. J’ai récupéré des filles au bals des villages, et ensuite j’ai du me défendre contre l’honneur de leur familles.
Finalement il a pris un apprentis et m’a jeté dehors. En me balançant une chaise à la tête, celle-là que j’ai gardé. C’est à dire que c’est en quelque sorte un cadeau, c’était ma préférée avec son long dossier et ses pieds tout-terrains. Quelle délicate attention, haaa…
Ma maman n’a pas été en reste, je me suis pris mon linge dans la figure. Il sentait bon le propre. Tu vois un peu comme mes parents m’aimaient ?

J’ai rapidement trouvé un boulot. Le gardien du cimetière venait récemment d’y élire définitivement domicile et les familles se plaignaient des herbes folles et des esprits qui râlaient la nuit. Un travail plaisant !
Tu vois, j’adore les cimetière, c’est le seul endroit où la compagnie des gens m’est aussi agréable. Ils ne s’agitent pas, ne font pas de bruit. Ils pioncent. Il faut juste passer un peu de temps à couper quelques plantes, a en arroser quelques autres tout en discutant tranquillement avec les tombes environnantes. Le reste du temps, s’installer à l’ombre et écouter pousser.
Quand aux esprits, en fait c’était un type qui venait la nuit pour cultiver des plantes dans un coin du cimetière. Je l’ai un peu raisonné quand il a pris peur en me prenant pour un spectre vengeur puis on a discuté.

Il venait ici parce qu’il avait remarqué que c’était un bon coin à plantes à rêves. Et qu’il pouvait les cueillir tranquillement sans déranger personne. J’avais jamais entendu parler. Il faut dire que « un truc qui détend et fait faire des beaux rêves », dans la région c’est pas franchement un besoin. Sachant que mal dosé ça peut devenir « un truc qui assomme et fait faire des cauchemars », le risque de mal dormir est bien trop grave et sacrilège pour être pris. Mais j’ai quand même voulu essayer, et j’ai bien aimé.
C’est un peu plus tard quand j’ai vu quelques uns de vos marins venir embarquer une cargaison de céréales et de tabac à destination de la ville que j’ai eu une idée. Vous qui êtes toujours stressé, je suis certain qu’un petit calmant aura forcément un fort succès commercial !
J’ai proposé à mon ami, Marie-Jean qu’il s’appelle, de tester le terrain. Si ça marche il achètera une parcelle à mettre en culture et hop. Voilà, je suis commercial. Prospecteur.
C’est la classe non ?

Tu veux des anecdotes sinon ?
Quand j’étais petit un de mes grands-pères avait oublié un fromage sortit à la cave et on m’a demandé d’aller y chercher un bouteille pour le repas de midi. Mes sourcils ont mis un mois à repousser et je n’ai jamais trop aimé jouer avec les explosifs comme les autres garçons de mon âge.

J’en ai d’autres comme ça…
Non ? Bon, alors voilà.
Zi Ande.

Profession : Vendeur d’herbes à fumer (dont tabac).
Avec plusieurs formules :
- Petite détente.
- Sieste tranquille.
- Nuit de beaux rêves.
- Grosse vision mystique.

Compétences :
Ingénierie : Bricolage (1)
Combat (chaise) : Base Offensive (3) ; Parade (1)
Autres : Perception (1)
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MJ

MJ


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MessageSujet: Re: Dealeur qu’il est arrivé.   Dealeur qu’il est arrivé. Icon_minitimeVen 29 Juil - 1:51

Bonsoir, Ǽðřəδøņ, et bienvenue sur Maynlie !

Tu nous proposes un personnage original pour une fiche bien écrite, je dois admettre que ce fut une lecture fort plaisante. Je n'ai tout simplement rien trouvé à redire. Du coup, bah...

[Fiche validée !
Tu peux à présent poster dans les parties RP du forum et commencer à jouer.
Et maintenant, il est temps de voir comment tu vas t'en sortir dans notre univers...
Place à tes aventures !]
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Ǽðřəδøņ
Personne Bannie
Ǽðřəδøņ


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MessageSujet: Re: Dealeur qu’il est arrivé.   Dealeur qu’il est arrivé. Icon_minitimeDim 17 Juin - 2:12

La Lune est belle.

Franchement, je me demande encore comment j’ai pu finir par me plaire ici. C’est assez étonnant, limite surnaturel. Peut-être une de ces adaptations de ces êtres qui changent avec leur environnement. Les hermines deviennent blanches en hiver et moi, je suis devenu urbain.

Pourtant, ce n’était vraiment pas gagné au départ, une arrivée difficile dans un monde difficile. Tout ce bruit, ces gens, cette agitation. J’ai bien cru devenir fou. Mais pas longtemps, dans l’esprit, c’est malsain de devenir fou. Après on devient tout pâle, maigrichon, avec des yeux exorbités et rougis de fatigue… beark, l’horreur. Sans aucun rapport, je me demande comment va le petit Nath’, il m’avait bien aidé cette fois-là…
Non, c’est vrai, sans lui je ne me serait peut-être pas rendu tout de suite compte que j’étais con. Et je le serait donc resté plus longtemps, ce qui aurait été idiot. Si longtemps que j’aurais peut-être même pu devenir chauve avant de me rendre compte que j’étais con. Et là il n’y aurait plus eu rien à faire. Enfin tout ça pour dire qu’il fallait que je commence par un bistrot ! C’est pourtant évident  ! Tout ce temps à alpaguer les gens dans la rue alors que je pouvais tout aussi bien m’assoir devant une petite myrta en faisant la connaissance de gens sympathiques. Le premier contact se passa tout en douceur, mon commerce prenait un excellent départ et j’apprenais du vieux Phénix une astuce bien pratique.

Une astuce qui n’a pas tardé à me servir d’ailleurs. C’est tout de même malin d’attaquer les gens dans le dos par surprise, en tout cas c’est plus simple à gérer quand vous avez la flemme et que les chocolats ont tout a coup un goût trop amer. Heureusement que tout s’est bien terminé. Sauf pour une chaise. Pas la mienne, hein, faut pas déconner. Ou alors il y aurait eu des morts. Beaucoup. De. Morts.
Oh, encore que la pauvre jeune femme que j’ai dut soigner de son stress a finit bien cassée aussi. Mais, n’écoutant que mon courage et ma dévotion ainsi que l’honneur lié à ma conscience professionnelle… hem… j’ai donc été raccompagner cette demoiselle à l’auberge. C’était plus sûr.

Car cette ville n’est pas sûre, on y fait parfois des rêves incroyablement salissants. Cela avait pourtant simplement commencé par une rencontre un peu cavalière, mais très vite j’ai pu me rendre compte que si les filles de mon pays savaient obtenir ce qu’elles voulaient de moi, ou presque, les femelles de cette ville n’attendent pas toujours de connaître mon avis. S’ensuivit une des nuits les plus agitées et sanglantes qu’il m’ait été donné de connaître. Encore plus que celle avec la tante Carla à la mauvaise Lune.
Bon, il y en a quand même eu d’autres depuis, mais chut.

Et encore, ce n’est pas encore la plus mauvaise rencontre que j’ai pu faire. Une journée de dur labeur à regarder les autres travailler. Voilà qu’une sirène me propose un petit tango. Je n’ai bien sûr pas pu refuser tant j’adore le tango. Et puis elle voulait le danser dans les bois, et j’adore les bois aussi. Inconscient que j’étais ! Voilà que je me jetais littéralement dans la gueule de la louve ! Vorace, agressive, sauvage et très… libérée. Il doit y avoir un symbole là dessous.
Cela dit… je ne me souviens plus de la fin. Y a du y avoir un truc, c’est assez flou et un sentiment de malaise me prend en y réfléchissant. Huuuum… un truc indigeste, c’est surement ça.

Enfin, la vie continue… Parfois de manière bien étrange, surtout quand vos rêves s’invitent sur votre lieu de travail. L’un dans l’autre ce fut une rencontre très profitable à tous les partis. Délibeth est entrée dans la petite famille du cabaret, la Patronne a trouvé une serveuse et une musicienne et moi j’ai découvert une caractéristique anatomique intéressante chez les vampires.
Et, la vie aurait pu continuer comme ça encore longtemps, si je n’avais pas eu à un moment… une petite panne qui m’a demandé d’aller me ressourcer un peu dans mon pays. Une petite balade à travers le maquis et les montagnes. Ça m’a regonflé à bloc, je suis revenu chargé comme un âne.

Pour constater en arrivant que la famille du cabaret s’était encore agrandie. Avec tout ce petit monde la boutique de la Patronne commence à très bien tourner maintenant. Sa réputation comme tripot a grandit entre les mains de cette pétillante blonde et de son mignon petit frère et les spectacles du cabaret sont assez prisés. J’avoue que je suis content qu’on m’y ait gardé une place. Pas que j’ai vraiment besoin d’une paye comme c’était le cas au début. Mon propre commerce a grandi lui aussi. Mais j’aime rester dans le coin, les clients savent ou me trouver, j’ai su me faire à l’ambiance et à la compagnie qu’on peut y trouver. La Patronne me garde même une petite bouteille bien au frais dans son bar, la meilleure myrta de la Pointe Sud. Elle est si attentionnée… quand elle a quelque chose à se faire pardonner. Ou qu’elle aura quelque chose à se faire pardonner bientôt. Bref, y a toujours une bouteille.

Et me voilà donc, Ǽðřəδøņ dit Lachaise, fils de rempailleur et enfant du pays, allongé sur le meilleur modèle de literie qui se fasse à ma connaissance à Clavinia, à regarder la Lune montante à travers la fenêtre de ma chambre sous les toit. Une belle nuit s’annonce.
Hmm, une nuit douce et calme, une nuit ou… le martellement de la botte de cuir sur les pavés semble décidé à remplacer le stridulement du cigalon.
Je hais cette ville et ces habitants.
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